Lettre à Angela [Par Jean-Paul Pelras]
Attentive aux propos de votre alter ego gaulois, vous aviez donc relevé cette petite phrase, lancée devant les caméras de télévision par le premier d’entre nous le 24 novembre dernier : “Je veux aussi être clair : je ne rendrai pas la vaccination obligatoire”. Si l’on tient compte de l’adage selon lequel seuls les ânes ne changent pas d’avis, vous en conviendrez, Madame la chancelière, nous avons affaire ici à un cador, à un athlète, à un as, à un maître de la pirouette et de la palinodie…
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