Cette petite musique du bonheur…

Nous nous sommes assis un instant et nous avons regardé autour de nous. Waouh ! Quel bazar : la guerre en Ukraine, les élections, l’augmentation de l’essence, la baisse du pouvoir d’achat, etc., etc.
Et comme diraient les bobos, les écolos, les végés, les… “il faut savoir « lâcher prise », « se déposséder de soi-même »”, mais hélas, ce n’est pas avec un tel jargon que nous y arriverons, nous préférons vous emmener avec nous, se promener, prendre l’air. Oui, le prendre, le respirer et le fredonner.
Pour ne pas sombrer dans cette béate attitude, nous vous proposons de revenir aux sources, de vous rappeler ces belles paroles de chansons pleines de tendresse, de douceur, de rêve et parfois de vérité. Alors il faut s’évader ! Pour planter le décor, puisqu’on est au Sud, Charles T. nous la raconte “cette mer qu’on voit danser le long des golfes clairs, celle qui a des reflets d’argent, des reflets changeants sous la pluie”, cette mer qui borde la Toscane, là où “les sages et beaux paysages font les hommes sages aussi”. Vous vous rappelez que cette ambiance “c’est plein de baisers caresses, plein de mots sucrés d’enfants”, c’est ce que nous dit Jean-Jacques G. et bien sûr, on pourra “refaire pour quelques instants un monde en bleu, avec le cœur au bord des yeux” rajoute Daniel G. C’est ce que nous voulions dire, pas de TV ni journaux, pas de guerre ni de politique, juste un peu de tendresse, du calme, on a bien bossé aujourd’hui et on veut juste être tranquille en lisant l’Agri.
Surtout qu’en levant la tête, nous avons vu “l’oiseau noir et l’oiseau blanc” de Mike B., lui qui parlait si bien d’amour “à corps perdu” en lui disant “c’est comme ça que je t’aime”, pendant que William S. voulait être “un homme heureux” et que Christophe de son côté susurrait “les mots bleus”.

“Un beau matin fatigué, j’irai m’asseoir sur le trottoir d’à côté…”

Surtout qu’au milieu de cette tourmente c’est Alain S. qui nous a dit “qu’un beau matin fatigué, j’irai m’asseoir sur le trottoir d’à côté” et c’est pour cela qu’on s’est dit que la seule chose importante, c’est l’amour, la tendresse, la sérénité, ce petit muscat partagé à deux en regardant la dernière neige sur le Canigou, ce petit air que vous fredonnerez et qui vous fera rêver un instant, rêver à “ce patineur, sur un grand lac, un lac gelé, qui avait un drôle d’habit noir…”, celui de Julien C. qui était près du “Lac majeur” de Mort S. qui pensait à “un été de porcelaine” en murmurant “Sorrow”.

Kiev est à 2 809 km de chez moi, on a du mal à joindre les deux bouts et on vient me racketter pour que je fasse un don… Heureusement, j’ai le doigt rapide sur le bouton stop, parce que finalement, comme disait Maxime, “ça sert à quoi tout ça, ça sert à quoi, ne me demandez pas de vous suivre !”.
“Quand il me prend dans ses bras
Il me parle tout bas
Je vois la vie en rose
Il me dit des mots d’amour
Des mots de tous les jours
Et ça me fait quelque chose” chantait Edith Piaf.
Voilà la vie telle que nous aimerions qu’elle soit, alors réécoutez et fredonnez encore tous ces chants qui vous reviennent en mémoire !

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