La peur du gendarme !
À 20 heures, rendez-vous devant la “maison de retraite”. C’est en ces termes que monsieur Milhes, policier au “commissariat” à la fin des années 60, convoquait, au début des vacances d’été, la petite bande de “sauvageons” à laquelle j’appartenais pour, disait-il, “prendre les noms et nous avertir”.
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