Lettre à Fernand qui tenait un petit bistrot de campagne [par Jean-Paul Pelras]
Fernand, J’ai appris récemment que tu avais décidé de baisser définitivement pavillon après un demi-siècle de rouges limés, d’anisettes, de petits blancs, de panachés, de diabolos menthe, de cafés, de demi-pressions.
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