Lettre au garde-champêtre de mon village [par Jean-Paul Pelras]

Tu es garde-champêtre et tu t’appelles Victor, Jean-Louis, Adrien, Céleste, Maurice ou Henri. Je me permets de te tutoyer car tu m’as vu grandir. Ou bien, car nous avons grandi ensemble depuis les bancs de cette communale où nous avons fait les 400 coups, où nous avons appris à désobéir et, souviens toi, à ne jamais plier les genoux.

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